D’un humour décapant, cinglant et sans concession, le nouveau seul-en-scène d’Haroun nous dresse le portrait des absurdités et contradictions qui font notre monde.

Acteur magnifique et incontrôlable, aussi fou que sage, Dewaere est un monstre sacré du cinéma français. Mais à quel prix ? Quelle est la frontière entre l’art et la vie ?

Leïla rencontre Julien, jeune correspondant de guerre. Pour accéder à sa propre histoire, elle veut apprendre l’arabe, sa langue maternelle qu’elle ne parle pas. Une quête où le passé familial va agiter son présent douloureux.

Claire, jeune fille autiste, est enfermée dans un hôpital psychiatrique dans l’attente de son procès pour homicide involontaire. Cela ne l’empêche pas de s’accrocher à son rêve : chanter dans l’émission To be a star…

S’inspirant de poèmes de Victor Hugo, Sylvain Daniel livre un album aux titres variés et envoûtants, teintés de mélancolie. Une œuvre poétique et musicale d’une grande densité dramatique.

Tassadite est une grand-mère, née en 1932 en Kabylie et arrivée en France à l’âge de 23 ans. Ce spectacle musical lit entre les lignes de son récit de vie, entre rêves, combats et regrets.

Le personnage principal de cette histoire est une ville, Val d’Europe. On y voit trois jeunes filles répéter un spectacle de sosies d’Abba, baignées de pop culture américaine.

M.E.M.M., comme « mauvais endroit mauvais moment ». L’acrobate-voltigeuse Alice Barraud poétise ses années de combat pour sa reconstruction, après une blessure traumatisante.

À vingt ans, Luz commence à douter de ses origines. Portée par son intuition, elle entreprend des recherches. Elle va découvrir un des épisodes les plus sombres de son pays, l’Argentine.

Pour sa nouvelle création, le chroégraphe hongrois Joseph Nadj prête son intemporel costume de scène à ses huit danseurs : tous vêtus de veste et pantalon noirs, ils reviennent aux origines de la danse.

Avec pour titre initial No women no cry, la nouvelle création d’Olivia Granville place sept danseurs contemporains face à la question de leur masculinité.

Si elle vient du hip hop, lui vient du flamenco. Ensemble, ils brisent les frontières de la danse pour faire fusionner leurs arts. Une preuve que la perfection se conjugue parfois à l’imparfait.